Tout ce qu’il ne faudra pas oublier après le confinement.
À proposConfinés, préoccupés, avons-nous tous compris l’alerte qui nous est donnée?
Que souhaitons-nous changer pour demain ? Une idée, une résolution, un engagement, un poème, tout est possible. Européens, nous souhaitons dialoguer avec nos amis. Aujourd’hui les langues italienne, anglaise, portugaise, espagnole sont opérationnelles.
Pour ne pas perdre de vue nos rêves issus du confinement, nous vous les renverrons dans un an…
Le Design pour un monde meilleur.
Rendez-vous dans un an !
je dois être heureuse et prendre mes décision pour le présent. Je dois être libre dans ma tête et vaincre mes peurs
La place pour développer une idée est trop réduite. Rares sont les problèmes binaires : tout blanc ou tout noir.
une petites filles m’a dit : “il faut manger moins de viande !” Sous entendu : pour émettre moins de CO2.
J’ai fait un tableau comparatif : veau élevé sous la mère/ veau élevé industriellement. Par industriellement, j’entends veau élevé avec de la poudre de lait (subventions pour fabriquer la poudre + pour utiliser la poudre de lait + vache nourrie en étable avec du tourteau de soja (entre autres, mais ne voyant pas la prairie).
Faute place pour continuer : faites calcul impact CO2.
Tirons les leçons de cette crise ! La nature nous a alerté plein de fois sur nos rapports désastreux à la nature avec le VIH, Ebola ou la peste porcine. La crise de covid avec la virus sars-cov2 n’est pas une nouveauté ! Stop à la déforestation et à l’élevage intensif ! Mettons fin à la machine capitaliste, et redonnons du sens dans nos sociétés !
Arrêtons de nous sentir comme supérieur vis-à-vis de la nature. Reconnectons-nous à cette dernière et préservons le vivant !
Mdr
” Écrire chez soi, entre soi, dans soi. Un confinement de soie, jamais renoncer à ouvrir les petites portes l’une après l’autre. Prendre parfois l’air, il en va de soi. Soi fut un interstice entre dehors et dedans. Soi, bref. Soit vivant.”
Je souhaite être dans la nature le plus souvent possible, et prendre le temps. M’autoriser à être sans m’imposer quoi que ce soit. Suivre mon intuition. Dire non quand je sens qu’il faut que je dise non. Aimer, m’aimer, prendre soin de moi-même et des autres. Donner, recevoir. Je souhaite habiter dans un endroit dans la nature ou très proche de la nature, un endroit qui soit chez moi, où je me sente chez moi, où je peux investir à très long terme.
“L’instant présent … éternellement.”
Je suis fière de mon chemin depuis 1 an: je me suis délestée, je me suis allégée matériellement et psychologiquement… pour changer d’altitude, vivre en cohérence avec mes envies de sobriété, de décroissance, de simplicité, de contribution au monde de demain , au monde d’aujourd’hui . Dans le respect du vivant et sa célébration quotidienne ! Tant de petites choses quotidiennes qui associées à celles des autres feront de grandes choses c’est certain !
Être ambitieux pour soi, ambitieux de soi. Ne pas se contenter, aller en profondeur, ne pas rester en surface. Car moi, se trouve en profondeur, et la surface est complaisante, vide, un petit compromis à très court terme et porteur de frustration.
Je suis fière de ce que j’ai accompli cette année écoulée. Demain, je mets mes 2 pieds dans l’abondance, sans peur. Je me lance avec courage et je continue de créer, d’expérimenter. Je me permets de me positionner comme l’experte que je suis, je gagne bien plus et je fais en profiter ma famille. Demain, je suis en voyage intérieure et extérieure et je suis, pleinement, la personne que j’ai envie d’être aujourd’hui !
Profiter de chaque instant, quel qu’il soit…. Un sourire, un rayon de soleil, de la bienveillance, une pensée, du temps pour chacun, avec chacun, pour soit….
Boire une bière en terrasse…
Trump est parti, mais tout de même les égos sont des virus puissants ! ils résistent … comment faire ? la nature ? à son contact on se surprend à aimer toutes les couleurs .
Saisir les opportunités au bon moment
Ne jamais céder à la facilité. Chercher la simplicité.
Se doter d’objectifs pour soi. Créer les conditions favorables. Se mettre à l’ouvrage. Prendre plaisir dans ce processus. Apprécier les gens sur son parcours. Laisser des traces pour en être nostalgique.
Faire mieux avec moins.
Croire en l’humain et voir que rien n’est figé. Croire que beaucoup reste à déconstruire, que c’est possible et qu’on peut faire mieux
Arrêter de croire que nous sommes au sommet de tout mais comprendre (enfin) que nous faisons partie d’un tout
Lire, lire, lire. Le plus beau moyen de poser son cerveau en le faisant grandir. La meilleure médecine de l’âme.
better and less consume
met des libellules dans tes yeux
je rêve de la mort des gens et espère ainsi prolonger leur vie.
J FAB and MA.
Plus de simplicité pour faire face à la complexité qui nous entoure
Faire la fête c’est important. Ce souvenir qui était docile, et qui bravait l’interdit.
Se rendre compte du niveau de confort que l’humain s’est créé, et dont il en est toujours plus avide.
Avoir pour but l’équilibre et non la croissance, et pouvoir ainsi se projeter dans 1 an.
Respirer et aimer davantage encore… aimer mieux
Célébrer la vie, le soleil, la pluie qui rafraichit…
Remercier la terre
Se sentir vivant
Ne pas oublier que vivre, c’est mourir un jour !
Continuer d’essayer des choses, de tester les limites et de prendre son courage à 2 mains afin de ne plus avoir de regrets.
Se rappeler que, relocaliser l’industrie chimique (je parle de ce que je connais), signifie réimplanter en Europe (en France) des “usines SEVESO”. Donc ;
1 : accepter les risques, (ne pas demander la fermeture d’une usine suite à un incendie)
2 accepter de payer plus cher : la sécurité ça se paye !
Que la Société(et donc moi en premier) pense et AGIT envers les jeunes générations qui vont trinquer de cette période pendant longtemps car ce sont les personnes “dits du passé”, en grande partie, (dont je fais partie)qui ont été concernés par les soins apportés par les soignants
Ne pas oublier le bol d’air quotidien
Le changement est beaucoup plus faclie lorsqu’on n’a pas le choix. Sous la contrainte, nous sommes plus enclins a essayer de nouvelles façons de penser, de travailler, de ne pas nous deplacer sourtout. Le benefice est immédiat : le calme, le chant des oiseaux, les fleaurs qui prolifèrent et tant d’autres.
Ne pas oublier que même sous un masque, un sourire se voit dans vos yeux
Mettre fin aux lobbies et multinationales, recherchant seulement le profit et polluant notre planète.
Repenser notre rapport au vivant, c’est-à-dire vis-à-vis des animaux, des arbres, de toutes les autres plantes et êtres vivants, et les préserver !
Moins et mieux consommer dans tous domaines.
Préserver la biodiversité qui passe par : mettre fin à l’élevage intensif, à la chasse, déforestation, trafic et commerce d’animaux. Trouver de vraies alternatives durables dans de nombreux domaines (travail, transports, énergie, consommation..). Mettre fin au système néo-libéraliste actuel ne reposant que sur le profit et la surconsommation. Mettre fin aux Etats corrompus par les multinationales et prise de mesures concrètes et efficaces à l’encontre du réchauffement climatique.
Faudra pas oublier ses clés. Parceque faire venir un serrurier même après confinement C est tjs aussi compliqué.
Créer des habitats partagés pour favoriser une vieillesse en lien les uns avec les autres
Sous les masques, les sourires!
Pour tous ceux qui pensent et disent: prendre le temps, faire du yoga, consommer mieux, faire du vélo, être moins connecté, s’aimer les uns les autres, etc. En résumé, conforter sa position de privilégié(e) sans avoir de compassion pour les délaissés. N’oubliez pas que le système capitaliste/néo-libéral/patriarchal met la misère aux pauvres, aux banlieusards, aux racisés, aux femmes, aux LGBTQI+, aux migrants. Sans ça, le monde de demain ressemblera beaucoup à celui d’hier.
Oublier les écrans, regarder ce qui est autour de soi et qu’on ne voit plus. Et se donner de l’amour pour pouvoir en donner aux autres
À vouloir faire du profit, on ne profite de rien…
Des solutions belles et constructives mettant l’humain, le vivant, la solidarité au cœur des systèmes restent à les diffuser et leur donner la possibilité de se réaliser: Isabelle Delannoy et l’économie symbiotique, La ferme du Bec Hallouin qui montre qu’une belle et luxuriante production alimentaire est possible, des épiceries participatives se créent, réhabiliter les sols vivants (Lydia et Claude Bourguignon), les toits et les murs vegetaux
retrouver le bien-être, le temps pour soi et pour sa famille!
Tout changer : le rapport au temps, au travail, aux autres, au reste du monde vivant, au local et au lointain, penser et repenser les liens qui relient tout élément présent sur Terre, renforcer l’être par rapport à l’avoir, mettre du sens dans le coeur de nos actes, dans nos choix, s’émanciper (des diktats productivistes et des logiques mercantiles qui les façonne), retrouver du pouvoir, apprendre à apprendre et à désapprendre s’il le faut, à transmettre, à échanger, à aimer. A la vie !